Dans un Topos, chaque élément en complète un autre : il est engendré, généré, point d’arrivée.
Elément/destination
Mais, chaque élément est aussi et surtout le point de départ d’un complément, d’un commentaire ou d’une association.
Elément/départ
Toutefois, comme chaque élément porte toujours du sens en soi, il peut revendiquer une autonomie qui lui confère un statut subjectif de "centre".
Document/centre
Ainsi les statuts hiérarchiques départ-destination et centre-périphérie s’éclipsent en faveur d’une construction en réseau où chaque élément endosse un statut de destination, de départ et de centre.
Intersection.
Ces quatre fonctions agissent comme des contraintes esthétiques qui stimulent et conditionnent l’écriture et sa génération (protocoles).
J’y vois une métaphore de l’humain où l’individu,
* maillon d’une généalogie, est point d’arrivée et point de départ ;
* évoluant à partir de la conscience de soi, se considère subjectivement comme un centre;
* membre d’un collectif, est un relais du réseau global (intersection).
Type de document : DJ's classes : récits variables
Auteur fictif : Capitaine L
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : Noyau liminaire
Commentaires : aucun
Textes satellites : aucun
0 pulsation par minute. Les gens crient. 0 pulsation par minute. Je n’ai plus peur. 0 pulsation par minute. Massage cardiaque. 0 pulsation par minute. «Je vous salue Marie pleine de grâce.» Bouche à bouche. 0 pulsation par minute. Massage cardiaque. 0 pulsation par minute. Bouche à bouche. 0 pulsation par minute. «Hang on son ! Don’t let go you hear me, don’t let go !» 0 pulsation par minute. Peine perdue. «Heavy metal thunder.» 0 pulsation par minute. Je m’envole, pourtant mon corps reste au sol. 0 pulsation par minute. Je n’ai plus peur. 0 pulsation par minute. Le vide. 0 pulsation par minute. Le néant. 0 pulsation par minute. «Racing with the wind». Dieu existe. 0 pulsation par minute. Il pense à moi. Les gens crient. 0 pulsation par minute. «Amazing grace, how sweet the sound.» 0 pulsation par minute. Je n’ai plus peur. «Oh happy days.» 0 pulsation par minute. Les gens crient.
«Je regardai, et voici, parut un cheval de couleur pâle. Celui qui le montait se nommait la mort.»
Une alarme retentit.
Silence.
Type de document : carnets personnels
Auteur fictif : Sgarideni
Auteur réel : funktomat
Provenance du texte : Participation
Référence : Apocalypse selon St Jean
Commentaires : 1
Textes satellites : aucun