architecture imprimé

Architecture du récit variable (réva) imprimé "l'Odyssée des 3 Espaces" du Capitaine L,
strates 1-4

1. Chaque strate alterne une zone de rhapsodie et une zone de bréviaire ;
2. Chaque strate se termine par une zone d'iconographie ;
3. Une zone peut être simple, double ou triple ;
4. Chaque zone est attribuée à un thème et agencée graphiquement avant tout processus d’extraction ou d'écriture des éléments qui la composent ;
5. Chaque zone présente au minimum un lien intertextuel endogène au réva (type lien A-I) , un lien intertextuel exogène au Topos (type lien-E) et un lien hypertextuel endogène au réva et exogène à la zone (type lien H-S ou H-R).
6. Tous les éléments constituent des unités autonomes de sens.

Pour le secteur diurne ou bréviaire :
1. Les zones sont complexes, c'est-à-dire constituées d’au moins deux éléments (texte ou image) ;
2. Chaque élément est soumis au moins à un lien hypertextuel endogène à la zone (type lien H-S ou H-R) ;

Pour le secteur nocturne ou rhapsodie :
1. Les zones comprennent uniquement du texte ;
2. les zones peuvent être simples ou complexes ;
2. Chaque strate (4 arrondissements, 4 strates) impose des contraintes spécifiques supplémentaires.


Type de document : DJ's classes : récits variables

Auteur fictif : Capitaine L

Auteur réel : Carole Lipsyc

Provenance du texte : Noyau liminaire

Commentaires : aucun

Textes satellites : aucun

sortants

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xiu celebration

Dans les jardins de l’Hôtel Sully, événement poésie, poétrie nouvelle. Soirée privée (private joke).

ALERTE // crime organisé // mafia sans remords // trafic d’influence // stupéfiant // association de malfaiteurs (collectifs) // XIU CELEBRATION.

Haut parrainage : monum [ mon homme ? mon légionnaire? ], autrement [revue et visitée à la baisse cause crash bulle spéculative ], Ircam [ haute modernité ].

Industrial music pas zic du tout, frime et vrac.
Tout en vrac, bruit au kilo [ zéro carat ] : ni mot, ni poézie, ni poétrie juste la famille [XIU famiglia] pas même la patrie.

Once upon a time, on naît conciliant. On donne sa chance, ok. Mais once upon a time, on n’est pas con. On s’lasse [ que ne m’eussé-je enlacée à la place ?]. Mais on tient bon.

Lors t’as une sorcière - style folle du métro - qui t’lance le mauvais œil en grec [chkoumoune] [cinq sur moi] -

'reuzment, les séries B (bêtise, berk, bouz) ont aussi leur M.I.B. [in black & in band]. Zétaient 5 ou 6 avec des bâtons [ style didjooridoo ] pour t’murmurer à l’oreille des trucs qui étaient bons, rien que pour toi. Les autres zavaient qu’à être jaloux.

Puis le reste on raye, on raille ! J’ai craqué, craquoté, craquota, craquote. J’ai grincé, frissonné, trimé. Ca faisait Crrrrrrrrrrrrrrrr. Et encore cRRRRRRRRRRRRRRRRR. Au bout du compte ai chopé une céphalée. Ai même fini par prendre un cachet (rarissime). CRRRRRR.

Mais voulais rester jusqu’à la fin. Repérage oblige. Projection décapitée sur écran d’école. Tête en creux et en décalé anonnant “regardez moi, moi, moi” et cinquante millions de chinois, noix, noix. Regarder qui ? Regarder qu’lui. (Lequel ? Le 3D sur l’écran ? Le personnage assis silencieux au bureau ou l’vrai ?) (symptôme de crise narcissique aiguë). Sleeping hollow (légende).


Type de document : streetchroniques

Auteur fictif : Capitaine L

Auteur réel : Carole Lipsyc

Provenance du texte : Noyau liminaire

Commentaires : aucun

Textes satellites : aucun

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