Tu crois au marc de café,
Aux présages, aux grands jeux :
Moi je ne crois qu'en tes grands yeux.
Tu crois aux contes de fées,
Aux jours néfastes, aux songes,
Moi je ne crois qu'en tes mensonges.
...
Je ne crois qu'aux heures bleues
Et roses que tu m'épanches
Dans la volupté des nuits blanches!
Et si profonde est ma foi
Envers tout ce que je crois
Que je ne vis que pour toi.
(Pierre cherche un souvenir. Là où il peut.)
Type de document : vers
Auteur fictif : Pierre
Auteur réel : Paul Verlaine
Provenance du texte : Liste de l'éducation nationale
Référence : Chansons pour elle
Commentaires : 1
Textes satellites : aucun
Bien que le temps d'Erel s’écoule linéairement, il n’est pas linéaire en soi.
Il est sensible aux anachronismes, ces attachements au passé qui nous retiennent fixement en un point révolu que nous refusons de quitter par nostalgie, rancune, douleur ou rage.
Il se prête également à la prospective, cette maladie de l’anticipation anxieuse ou de la rêverie aliénante.
Souvent il s’abandonne à la circularité, nous entraînant sans cesse dans les mêmes enjeux jusqu’à ce que nous les résolvions.
Type de document : DJ's classes : l'art du voyage
Auteur fictif : Capitaine L
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : Noyau liminaire
Commentaires : aucun
Textes satellites : aucun