comment ce jour-là

Comment ce jour-là ont-ils eu | l’envie | l’idée | le besoin ?

Elle n’a pas compris cet arrêt
Oubli total du quotidien, d’elle-même, de tout
Frôlement du plus infime et dévoilé
Entente pressentie depuis leur premier regard
Sur le quai par sa mémoire absorbée.

Oui, cela s’est passé
En-dehors du soleil

Oui, c’était au bord
De la Seine

Qu’est-ce que ça
Change ?

L’homme s’appelle
Pierre
Et la femme
Ludivine.


Type de document : vers

Auteur fictif : Capitaine L

Auteur réel : Carole Lipsyc

Provenance du texte : Noyau liminaire

Référence : Les derniers vers sont remixés ... mais d'où ? oubli

Commentaires : aucun

Textes satellites : aucun

sortants

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Baricco

Tribut Baricco

Tu touches l'âme. A la façon de Bach. Les lignes mélodiques se reprennent, congruentes et divergentes. Toujours dans un rythme secret qui fait écho au centre de tout.

Tu relèves du génie et en même temps tu uses d'un filon débusqué, grand filou, chercheur d'or poétique. A la façon de Goldmann (Jean-Jacques) qui a compris la mélodie du bonheur mélancolique.

Je n'arrive pas à me décider pourtant : nous entraînes-tu vers un passage ? Ou joues-tu des cordes de notre âme juste pour la faire chanter. Un instant à peine.

D'accord. Sentir son âme chanter, un instant à peine, c'est déjà un miracle. Un samadhi (uncle sam a dit ?).

Une réparation.


Type de document : streetchroniques

Auteur fictif : Capitaine L

Auteur réel : Carole Lipsyc

Provenance du texte : Noyau liminaire

Commentaires : aucun

Textes satellites : aucun

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