dames télégraphe

Tous les mardi soirs, rue de Lille (perpendiculaire à la rue du Bac), je passe devant la maison des dames télégraphe et téléphone. Architecture magistrale. Bâtiment magnifique. Les fenêtres immenses du bar-restaurant laissent entrevoir la vie d'un autre temps et je ne voudrais pour rien au monde y entrer: de ce côté-ci, j’ai l’impression d’avoir vue sur la belle époque. De l’autre côté, que me resterait-il ?

au Dottore Pi


Type de document : correspondances

Auteur fictif : Capitaine L

Auteur réel : Carole Lipsyc

Provenance du texte : Noyau liminaire

Commentaires : aucun

Textes satellites : aucun

sortants

> changer les liens

Voir les itinéraires

Pour consulter vos itinéraires, merci de vous identifier.

Si vous n'avez pas encore créé votre profil, cliquez ici.

Si vous avez perdu votre mot de passe, cliquez ici.

.
.
.
.
.
.
.
.
.
.

.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.