A ne manquer sous aucun prétexte au Forum des Halles :
- l’enceinte près du manège où les aficionados du cirque [jongleurs, contorsionnistes] s’entraînent sur fond de didgeridoo [instrument de musique des aborigènes australiens] ;
- l’escalier roulant de la porte du Louvre qui débouche – quand on monte – sur une magistrale colonne en point de fuite [perspective] ;
- l’hémicycle près de la piscine où les street-dancers se lancent des défis après 21H00.
Type de document : streetchroniques
Auteur fictif : Capitaine L
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : Noyau liminaire
Commentaires : aucun
Textes satellites : aucun
Le modèle du topos garantit la cohérence de toutes les combinatoires, c’est-à-dire du résultat de toute interaction ou interactivité. La complexité des scénarios arborescents — proche de celle du réalisme modal — est remplacée par le programme narratif et sémantique.
L’interactivité d’un topos n’est pas arborescente, elle est combinatoire. Elle ne crée pas de bifurcations ni de « mondes possibles ». Elle explore un seul monde et non pas ses « contreparties » (counterparts), mais elle explore ce seule monde à partir de tous les points de vue possibles (narrativité kaléidoscopique).
Type de document : DJ's classes : récits variables
Auteur fictif : Arte Miss
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : CL
Référence : D. Lewis, 1973, Possible worlds
Commentaires : aucun
Textes satellites : aucun