Et ils s'étonnent !
A propos de Chateaubriand qui - dans une note - désigne la statue de Jacques II comme étant celle de Charles II :
"Pourquoi Chateaubriand a-t-il délibérément maintenu cette note fausse à propos d'un passage où il est censé démontrer sa compétence à interpréter un lieu ?"
Parce que par ce décalage, il n'interprète plus le lieu : il l'invente. Qu'importe l'exactitude ? Qu'importe la vérité ? Il s'agit de fiction, d'écriture, pas d'histoire. Pas de sciences humaines, pas de journalisme. justement.
Type de document : DJ's classes : classes générales
Auteur fictif : Capitaine L
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : Noyau liminaire
Commentaires : aucun
Textes satellites : aucun
Le récit variable se fragmente, se combine et s’anime en fonction du choix de son usager / lecteur.
Le sens y est restitué par le lien entre les textes, par leur juxtaposition et par le parcours unique du lecteur au sein du récit.
Simple d'usage, un récit variable conserve la narration et maintient les mécanismes essentiels d'identification. C'est un espace textuel voué à la transformation et à l'expansion.
Le récit variable peut être lu de quatre manières différentes : linéaire, multilinéaire, aléatoire et combinatoire (réseau).
Type de document : DJ's classes : récits variables
Auteur fictif : Capitaine L
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : Noyau liminaire
Commentaires : aucun
Textes satellites : aucun