Oui, oui, oui ! J’adore la fontaine de Beaubourg !
D’abord à cause des bouches d’aération version terres-neuves (elles me font penser à Anita Conti, superbe poète et photographe de l’anodin-pêcheur, Anita qui disait : "la vie te donne ce que tu lui arraches") .
Et puis j’aime les bateaux ! Les bateaux-fiction, pas les vrais, ceux qu’on écrit ou qu’on dessine, pas ceux qui voguent et qui s’en vont – e la nave va.
Ensuite, à cause des couleurs et puis aussi à cause des mobiles futiles: des lèvres rouges, un pédalo-escargot, une spirale esclave, une clé de sol pour fausses notes, un serpent qui fait pas peur, un alambic trictric, une tête de mort sur squelette noir et plein d’autres choses encore très rigolotes mais que je n’arrive pas à relire : j’ai vraiment écrit comme un pied ce mardi d’octobre où je me suis promenée autour de Beaubourg ... Il faudra que j’y retourne ... et puis non ! Voilà ! C’est comme ça ! Vous n’avez qu’à prendre ma fontaine avec ses erreurs de transcription dues à mon écriture de cochon ! Après tout, ici c’est Paris-fiction ! Pas le vrai Paris…
Type de document : chroniques de Kiméria
Auteur fictif : Capitaine L
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : Noyau liminaire
Commentaires : aucun
Textes satellites : aucun
Galilaeus, Galilaei
Et son espace-temps et son infini.
Newton pourra y faire tomber ses pommes !
Etudier la matière et toutes ses sommes.
Il dit : l’immobilité est un leurre,
Le métro que vous prenez à bonne heure,
N’avance ainsi que par une référence.
Voyez-vous cette subtile transparence ?
Rédaction d’un récit contradictoire,
Remix d’une religion et ses déboires.
Lecture : Galileo Galilei
Type de document : DJ's classes : classes générales
Auteur fictif : Anonyme
Auteur réel : anonyme
Provenance du texte : Ateliers scolaires
Référence : Paris - Hélène Boucher - 2de - 2005
Commentaires : aucun
Textes satellites : aucun