Fêtes baroques ? Fêtes de cour somptueuses et insouciantes : théâtre du monde : l’art comme univers : la vie comme œuvre d’art totale : [ Calderòn, la vie est un songe ][ si la vie est un songe, la mort est un mensonge ] : "memento mori" : "souviens-toi que tu es mortel/le" : angoisse d’exister : "non plutôt oublie-le" : angoisse de crever : rave party [(le)rêve (est) parti ] : musique industrielle et techno pride : mais où est l’autre ? où est l’autre ? mais où est l’autre ? où est l’autre ? mais où est l’autre ? où ...
(quand le baroque brille et brûle)
Type de document : notes et travaux
Auteur fictif : Capitaine L
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : Noyau liminaire
Référence : La Vida es sueno, Calderon
Commentaires : aucun
Textes satellites : aucun
Le plus ancien blason de la ville de Paris est conservé aux Archives Nationales.
Il s'agit d'un sceau créé en 1210, sous le règne de Philippe Auguste, par la corporation des Nautes, les Marchands de l'Eau. Les Nautes était la plus puissante et la plus ancienne des corporations parisiennes. Elle assurait depuis des siècles l’essentiel du ravitaillement et du négoce de la capitale.
Dès cette époque, le bateau de rivière devient donc l'emblème de Paris, emblème naturel pour une ville qui a été fondée sur une île, l'Ile de la Cité.
A la fin du XVIème siècle, la devise Fluctuat Nec Mergitur, Flotte mais Ne Coule Pas, apparaît au-dessous de l’écu. Elle n'y figure qu'épisodiquement jusqu'en 1852, date à laquelle le préfet Georges Eugène Haussmann en consacre définitivement la présence.
Preuve que Jo l'éventreur [de Paris] n'a pas fait que des malheurs.
(remix ratp / station Hotel de Ville)
Type de document : streetchroniques
Auteur fictif : Capitaine L
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : Noyau liminaire
Commentaires : aucun
Textes satellites : aucun