ce que je dois

Dans l’odyssée du récit variable, ce que je dois à Calvino, je ne le lui dois pas au nom de l’Oulipo. Je le lui dois au nom des Villes invisibles, de Kublai Khan, de Marco Polo.


Type de document : DJ's classes : récits variables

Auteur fictif : Capitaine L

Auteur réel : Carole Lipsyc

Provenance du texte : CL

Référence : Les Villes Invisibles, Italo Calvino

Commentaires : aucun

Textes satellites : aucun

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deux imaginations

Il est deux imaginations pour Bachelard.

L’imagination formelle, imagination de surface, de la nouveauté et l’imagination matérielle, imagination des profondeurs, du primitif, de l’éternel, de l’élémentaire.

L’imagination matérielle a un poids, un toucher, elle est aussi familière au sensoriel qu’au mental.

Ces deux imaginations se distinguent sans s’opposer : peut-on réellement dissocier l’abstrait du concret, la forme de la matière, la surface de la profondeur, l’intérieur de l’extérieur ?

Il est certain que l’imagination matérielle utilise l’élémentaire pour s’inséminer [l’eau, la terre, le feu, l’air]. Elle est essentiellement alchimique. Mais d’autres substances peuvent prétendre au statut de matière symbolique : pour cela elles doivent impérativement porter la dualité bénéfique / néfaste à l’exemple du feu qui réchauffe ou calcine.


Type de document : DJ's classes : récits variables

Auteur fictif : Capitaine L

Auteur réel : Carole Lipsyc

Provenance du texte : Noyau liminaire

Commentaires : aucun

Textes satellites : aucun

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