Au Cabaret de la Bohème
six heures du mat
et l'odeur du pavé lustré après l'averse
suffit à te faire croire que tu es poète
"Funiculaire" quel drôle de mot
on dirait qu'il en dit trop ou pas assez
me fait Irwin dans sa sobriété d'alcolo au matin
yep
par où nous faudra-t-il commencer notre descente vers la ville
cette fois
Type de document : streetchroniques
Auteur fictif : Pierre
Auteur réel : anonyme
Provenance du texte : Participation
Commentaires : 1
Textes satellites : aucun
Les émotions et les enjeux décrits par Madame Duras, bien souvent, me coupent de la magie de sa lettre. Je n'aime pas ses personnages. Jamais. Ils me sont inconnus. Ou presque.
Parfois un ressenti suspendu entre deux vides m'accroche. Adhérence si totale que j'aspire tout le reste jusqu'à — non pas l'ivresse — mais l' « éculement ».
Peut-être. Peut-être aussi parce que dans le miracle de ses transgressions, je ne perçois aucune tendresse. Seulement la dissection.
Je me donne à Madame Duras dans un masochisme intense. Celui d'un corps qui recherche le plaisir dans la douleur. Douleur de ne pas appartenir à. Jubilation jalouse.
Jalouse de Duras et de Baricco.
Type de document : DJ's classes : études comparées
Auteur fictif : Capitaine L
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : Noyau liminaire
Commentaires : aucun
Textes satellites : aucun