Neruda amoureux, parfois je t’envie d’être homme, d’oser dire à celle que tu aimes, belle forcément, "tu me plais quand tu te tais".
Comment t’en vouloir ? Tes vers tombent sur mon âme comme la rosée sur la terre crépusculaire et je balbutie à tous mes souvenirs absents, à tous mes P’tits Gars inconsistants "je ne t'aime plus, c'est certain mais si, peut-être, si, peut-être que je t'aime encore".
A Pablo Neruda
Type de document : correspondances
Auteur fictif : Capitaine L
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : Noyau liminaire
Commentaires : aucun
Textes satellites : 1
En attendant que sonne l'heure noire
Où les bateaux-omnibus et les trains
Ne partent plus, tirez, tirs, fringuez, reins!
Type de document : chants des DJ's
Auteur fictif : Anonyme
Auteur réel : Paul Verlaine
Provenance du texte : Liste de l'éducation nationale
Référence : L'heure noire
Commentaires : aucun
Textes satellites : aucun