comme des haïkus

Les poèmes de Guillevic sont comme des haïkus : minimes. et pourtant, croyez-moi, ils n’ont vraiment rien en commun avec des haïkus. D’abord, parce qu’ils ne finissent pas : ses vers, tous ses vers s’enchaînent comme les années d’une vie, la sienne ou la nôtre ; ensuite parce que, pour lui, la concision n’est pas esthétique, il ne pratique pas la "bonsaï-poésie", je ne l’imagine pas du tout s’extasier devant un arbre mutilé et nanifié, encore moins devant des mots artificiellement resserrés, non. La concision est pour lui une nécessité, une économie, un héritage, un souvenir.


Type de document : DJ's classes : études comparées

Auteur fictif : Capitaine L

Auteur réel : Carole Lipsyc

Provenance du texte : Noyau liminaire

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Les bateaux

Les bateaux d'autrefois
à voiles ou à rames


à rames
la galère, la pirogue, le rabelo portugais, le canoë indien, la gondole, le bateau viking

à voiles
la tartane, la frégate, la caravelle, le thonier, les quatre-mâts, la brigantine, le corsaire, le pirate, la barge, le chalutier

Les bateaux d'aujourd'hui
à vapeur, à moteur, atomique


le paquebot, le cargo (pétrolier ou bananier), le yacht.

(2 janvier 1969, préparation du voyage d'été)


Type de document : notes et travaux

Auteur fictif : Sgarideni

Auteur réel : scolaire

Provenance du texte : Ateliers scolaires

Référence : Nice - Sainte-Hélène - CE2- 1971

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