Le Beaubourg frime café n’abrite pas que des membres du XIU : quotidiennement, mon très honorable et respecté professeur d’art dramatique et de direction d’acteur, Monsieur J.G., pionnier de l’actors studio, réalisateur considéré comme le Bergman d’Hollywood (est-ce un compliment ?) , assistant d’Elia Kazan, ami de Jimmy Dean, de Marilyn Monroe, de Ionesco, d’Arthur Miller, de Tenessee Williams, pygmalion de Ben Gazzara, de Carole Baker et d’Irène Jacob, témoin des scènes du grand théâtre yiddish et américain, s’y installe pour lire et pour écrire …
Type de document : streetchroniques
Auteur fictif : Capitaine L
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : Noyau liminaire
Commentaires : 1
Textes satellites : aucun
Tribut Baricco
Tu touches l'âme. A la façon de Bach. Les lignes mélodiques se reprennent, congruentes et divergentes. Toujours dans un rythme secret qui fait écho au centre de tout.
Tu relèves du génie et en même temps tu uses d'un filon débusqué, grand filou, chercheur d'or poétique. A la façon de Goldmann (Jean-Jacques) qui a compris la mélodie du bonheur mélancolique.
Je n'arrive pas à me décider pourtant : nous entraînes-tu vers un passage ? Ou joues-tu des cordes de notre âme juste pour la faire chanter. Un instant à peine.
D'accord. Sentir son âme chanter, un instant à peine, c'est déjà un miracle. Un samadhi (uncle sam a dit ?).
Une réparation.
Type de document : streetchroniques
Auteur fictif : Capitaine L
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : Noyau liminaire
Commentaires : aucun
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