Il faut d'abord être en retard.
L'évènement est un pilier à regarder.
Ne pas s'y joindre, laisser l'heure, la minute puis la seconde s'étirer dans le temps d'urgence, qu'il vous emplisse, qu'il fasse du moindre écart une immensité.
Se laisser prendre dans l'amplitude afin de sentir toute la puissance du continu. La décomposition doit s'effacer et l'infini cogner à vos portes.
L'évènement disparait.
Type de document : DJ's classes : l'art du voyage
Auteur fictif : Arte Miss
Auteur réel : Ciriaco Soleares
Provenance du texte : Participation
Commentaires : aucun
Textes satellites : aucun
Tribut Baricco
Tu touches l'âme. A la façon de Bach. Les lignes mélodiques se reprennent, congruentes et divergentes. Toujours dans un rythme secret qui fait écho au centre de tout.
Tu relèves du génie et en même temps tu uses d'un filon débusqué, grand filou, chercheur d'or poétique. A la façon de Goldmann (Jean-Jacques) qui a compris la mélodie du bonheur mélancolique.
Je n'arrive pas à me décider pourtant : nous entraînes-tu vers un passage ? Ou joues-tu des cordes de notre âme juste pour la faire chanter. Un instant à peine.
D'accord. Sentir son âme chanter, un instant à peine, c'est déjà un miracle. Un samadhi (uncle sam a dit ?).
Une réparation.
Type de document : streetchroniques
Auteur fictif : Capitaine L
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : Noyau liminaire
Commentaires : aucun
Textes satellites : aucun