La pomme est un fruit sucré et acidulé.
De couleur rouge ou rose, verte ou jaune, elle varie selon l’espèce.
Ronde et charnue, sa fraîcheur peut pourtant devenir chaleureuse et douce quand on la prépare en compote.
Petite, jaune, sèche, acide, la pomme au couteau est faite pour être dégustée, sa peau est fine et savoureuse.
La pomme de Normandie peut servir à fabriquer le cidre.
Il y a aussi la pomme d’amour pour laquelle on chavire et la pomme d’Adam qui peut nous faire défaillir et tomber dans les pommes. Pour revenir sur terre, il faut alors le jet d’eau froide d’une pomme de douche.
Type de document : notes et travaux
Auteur fictif : Fanfan
Auteur réel : scolaire
Provenance du texte : Ateliers scolaires
Référence : Paris - Hélène Boucher - 2de - 2005
Commentaires : 1
Textes satellites : aucun
Vidocq, Eugène François
(1775-1857)
dit "le premier privé du monde"
Il fut voleur, il fut forçat, soldat, chef de la sûreté, pdg, écrivain.
Il inventa les méthodes d’investigations criminelles modernes et usa avec talent du marketing (est-ce que c’est la même chose, le crime et la pub ?).
Les "explorateurs" de son agence de détectives privés (la première de toutes avec abonnement anti-escrocs) portaient des sobriquets sympathiques : le cyclope, le faune, l'homme du monde, jeune premier à gants beurre frais.
Il avait installé ses somptueux bureaux près de la Cour des Miracles : au numéro 13 de la Galerie Vivienne.
36 ans avant lui, dans ce même passage, avait séjourné un autre mythe, un libérateur, un révolutionnaire : Simon Bolivar. Ils n’ont pas pu se croiser, 36 ans d’écart, faut pas exagérer…
Vidocq, on l’aime à cause de la série télé (mais pas du film), du générique de Gainsbourg "Oh, qui ne s'est jamais laissé enchaîner? Moi, oui, je le sais, je suis un évadé" et de Brasseur, le fils.
Il inspira Hugo pour les personnages de Jean Valjean et de l’inspecteur Javert, Balzac pour Vautrin dans "le Père Goriot", Dickens pour le fugitif dans "Les Grandes Espérances", Melville pour Moby Dick et E.A.Poe pour son "Double assassinat dans la rue Morgue". Impressionnant.
Il s’opposait à la peine de mort et dénonçait la froideur inhumaine des prisons. Il aidait les pauvres, punissait les coupables et sauvait les innocents. Il était tout à la fois Robin des bois, Arsène Lupin, Emile Zola et Sherlok Holmes.
A mon avis, il n’a pas vraiment existé. C’est trop pour un seul homme.
Type de document : streetchroniques
Auteur fictif : Capitaine L
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : Noyau liminaire
Commentaires : aucun
Textes satellites : aucun