Quand une porte est ouverte faut-il entrer ? Faut-il suivre la foule ? Faut-il suivre le mouvement ? Ascendant, descendant ? Pour le simple plaisir d'un bain de foule aux heures chaudes de l'après-midi?
Un bain de foule dans les boyaux de la terre, enfermé, pressé, oublié au sein d'une humanité solitaire et indifférente.
Quand une porte est ouverte faut-il entrer ? Oser la rencontre de l'amitié, de la différence? Faut-il errer, en attente, dans ces couloirs interminables ? Faut-il choisir à la croisée ou laisser le flux nous pousser ?
Latence de voyage.
Type de document : chants du chœur
Auteur fictif : Le Chœur
Auteur réel : Coraly
Provenance du texte : Participation
Commentaires : 2
Textes satellites : aucun
Les poèmes de Guillevic sont comme des haïkus : minimes. et pourtant, croyez-moi, ils n’ont vraiment rien en commun avec des haïkus. D’abord, parce qu’ils ne finissent pas : ses vers, tous ses vers s’enchaînent comme les années d’une vie, la sienne ou la nôtre ; ensuite parce que, pour lui, la concision n’est pas esthétique, il ne pratique pas la "bonsaï-poésie", je ne l’imagine pas du tout s’extasier devant un arbre mutilé et nanifié, encore moins devant des mots artificiellement resserrés, non. La concision est pour lui une nécessité, une économie, un héritage, un souvenir.
Type de document : DJ's classes : études comparées
Auteur fictif : Capitaine L
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : Noyau liminaire
Commentaires : aucun
Textes satellites : aucun