Soirée dédiée à la poésie nouvelle dans les jardins de l’Hotel Sully.
En d’autres temps, dans ces même lieux, des orchestres, des feux d’artifices, des grandes toilettes, fêtes baroques ; ô ! qu’est le baroque devenu ? Seul point commun, les flammes des bougies : des bougies, plein de bougies, partout. Comme pour une grande nuit d’amour... Ô que ne m’eussé-je enlacée à la place ?
Type de document : streetchroniques
Auteur fictif : Capitaine L
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : Noyau liminaire
Commentaires : aucun
Textes satellites : aucun
Le temps réticulaire s’inscrit dans l’ubiquité et la simultanéité. Il ne s’oppose pas au temps linéaire ni au temps cyclique, il les réconcilie. Par logique réticulaire, il accepte le paradoxe et évite la dialectique.
Il substitue, à la finitude de l’aboutissement linéaire ou du retour cyclique, l’inachevé de la construction permanente et perpétuelle : un réseau est voué à l’expansion, à la transformation et à l’obsolescence.
Type de document : DJ's classes : les réseaux
Auteur fictif : Capitaine L
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : Noyau liminaire
Commentaires : aucun
Textes satellites : aucun