Neruda amoureux, parfois je t’envie d’être homme, d’oser dire à celle que tu aimes, belle forcément, "tu me plais quand tu te tais".
Comment t’en vouloir ? Tes vers tombent sur mon âme comme la rosée sur la terre crépusculaire et je balbutie à tous mes souvenirs absents, à tous mes P’tits Gars inconsistants "je ne t'aime plus, c'est certain mais si, peut-être, si, peut-être que je t'aime encore".
A Pablo Neruda
Type de document : correspondances
Auteur fictif : Capitaine L
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : Noyau liminaire
Commentaires : aucun
Textes satellites : 1
15 juillet 2003.
Café près de la Seine. Petites tables rondes en bois de teck. Si chaud, cet été. Si chaud.
Atmosphère d'un "Peut-Être" d'après Klapisch.
Paris désert.
Les sons avancent au ralenti. Les mouvements.
Seulement votre bras qui varie l'air, qui bat en cadence les vives saccades d'un éventoir en fibres tressées.
Au Dottore Pi
Type de document : correspondances
Auteur fictif : Capitaine L
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : Noyau liminaire
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