danse d'amour

Paris

Soulever tes voiles
Avec langueur

Et révéler le rêve
Le gemme
La parure secrète

Le primaire
La terre
La fiction

Danse d'amour

Paris je veux te caresser
Au plus nu
Là où personne ne te sait

Aujourd'hui je veux être ta fiancée
Ton amante secrète

Demain,
Demain je t'épouserai.


Type de document : chants des griots

Auteur fictif : Loula-Ludivine

Auteur réel : Carole Lipsyc

Provenance du texte : Noyau liminaire

Commentaires : aucun

Textes satellites : aucun

sortants

.

intrigue sémantique

Les villes invisibles d’Italo Calvino proposent-elles vraiment une intrigue ?

Intrigue, itinéraire et solution, trois des quatre ingrédients qui forment un livre selon Calvino, y sont laissées au bon (ou au mauvais) vouloir du lecteur.

En fait, l’unique intrigue évidente dans les Villes invisibles, c’est la lecture elle-même : intrigue sémantique.

Une lecture-enquête qui renvoie le lecteur à (au moins) deux questions qu’il doit résoudre :
- puisqu’il est possible de lire Les Villes Invisibles de différentes façons (linéairement, par série, par dialogue, au hasard, etc.) comment lire le livre, selon quel itinéraire ?
- au-delà du cadre, quelle est l’intrigue du livre ? quel est son sens ?

Deux questions qui se rejoignent car le choix d’un itinéraire induit le choix d’un sens.

Lire Les villes invisibles de façon chronologique et linéaire, c’est suivre l’évolution de la relation de l’empereur et du marchand au fil du temps et des voyages ; lire au hasard, c’est chercher les points communs, les invariants, l’argument caché ; lire par série, c’est vouloir comprendre quelque chose non pas des villes mais des thèmes (mémoire, désir, signes, effilement), etc.

Le Récit Variable utilise également le procédé de l’intrigue sémantique. Est-ce nécessaire de le préciser …


Type de document : DJ's classes : récits variables

Auteur fictif : Capitaine L

Auteur réel : Carole Lipsyc

Provenance du texte : CL

Commentaires : aucun

Textes satellites : aucun

.

Modes lecture
Glossaire
Historique
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.